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Publié par Pour une vraie gauche à Lannion

Coronavirus, scattano i primi scioperi in tutta Italia. Mercoledì stop dei metalmeccanici in Lombardia

Coronavirus, les premières grèves se déclanchent dans toute l'Italie. Arrêt du mercredi pour les métallurgistes en Lombardie

 

Le 25 aujourd’hui

 

Article traduit de la Republica du 23 mars

https://www.repubblica.it/economia/2020/03/23/news/coronavirus_sciopero_lombardia-252057177/

 

l segretario della Fim-Cisl Bentivogli: "Qui sono necessarie misure più restrittive". Anche le banche minacciano di fermarsi. Boccia a Circo Massimo su Radio Capital: "Sciopero generale? Onestamente non capisco su cosa". Domani call Gualtieri-Patuanelli- sindacati

 

 

Le secrétaire de la Fim Cisl Bentivogli: "Des mesures plus restrictives sont nécessaires ici". Les banques menacent également de s'arrêter. Boccia (Medef italien) à Circo Massimo (émission de radio) sur Radio Capital: "Grève générale? Honnêtement, je ne comprends pas quoi". Appelez demain les syndicats de Gualtieri-Patuanelli- (Les ministres du développement économique et de l'économie )

Cisl= CFDT à peu près en France

CGIL =CGT ‘’

UIL = FO ‘’

MILANO - L'ultimo decreto varato dal governo che restringe il numero di imprese che possono restare aperte continua a dividere il mondo del lavoro. Già oggi da Nord a Sud sono partiti i primi scioperi all'interno delle aziende. Secondo quanto riporta la Fiom, hanno incrociato le braccia al momento i lavoratori di Leonardo, Ge Avio, Fata Logistic System, Lgs, Vitrociset, MBDA, DEMA, CAM e DAR. 
MILAN - Le dernier décret du gouvernement qui restreint le nombre d'entreprises qui peuvent rester ouvertes continue de diviser le monde du travail. Les premières grèves au sein des entreprises ont déjà commencé du nord au sud. Selon les rapports de Fiom, les travailleurs de Leonardo, Ge Avio, Fata Logistic System, Lgs, Vitrociset, MBDA, DEMA, CAM et DAR se sont croisés les bras à ce moment.

 

Tra i primi a schierarsi pubblicamente contro le decisioni prese ci sono poi i lavoratori delle aziende metalmeccaniche della Lombardia, che hanno proclamato uno sciopero mercoledì 25 marzo per 8 ore. La decisione, ha spiegato il segretario Fim-Cisl Marco Bentivogli, "è stata presa perché si consideri la Lombardia una regione dove sono necessarie misure più restrittive sulle attività da lasciare aperte". In un secondo momento lo stesso Bentivogli ha però chiarito che si sta ancora discutendo sullo sciopero e sulle modalità di attuazione della protesta.

 

Parmi les premiers à prendre publiquement position contre les décisions prises, il y a les travailleurs des entreprises métallurgiques de Lombardie, qui ont proclamé mercredi 25 mars une grève de 8 heures. La décision, a expliqué le secrétaire de la FIM-CISL Marco Bentivogli, "a été prise pour considérer la Lombardie comme une région où des mesures plus restrictives sont nécessaires sur les activités à laisser ouvertes". Plus tard, cependant, Bentivogli lui-même a précisé qu'il y avait encore des discussions sur la grève et sur la façon de mettre en œuvre la protestation.

 

 

Decisione analoga anche per ii settori chimico, tessile, dell'energia e della manifattura che in Lombardia hanno proclamato uno sciopero per mercoledì. A comunicarlo sono state in una nota le segreterie Filctem, Femca e Uiltec. "Ci mobilitiamo per difendere la vita e la salute - ripprta il testo - il Decreto del governo tiene conto solo in misura parziale delle istanze che Cgil, Cisl e Uil hanno posto all'attenzione dell'esecutivo; infatti molte attività non essenziali nè indispensabili sono state inserite tra quelle che possono continuare a lavorare. L'aver inserito nelle attività d'impresa da considerare essenziali una serie di attività di vario genere che di essenziale non hanno nulla, depotenzia il decreto e crea l'effetto di ridurre ai minimi termini il numero delle lavoratrici e dei lavoratori che potranno 'rimanere a casa'"

 

 

Décision similaire également pour les secteurs de la chimie, du textile, de l'énergie et de la fabrication qui, en Lombardie, ont proclamé mercredi une grève. Les secrétariats de Filctem, Femca et Uiltec l'ont communiqué dans un communiqué. "Nous nous mobilisons pour défendre la vie et la santé - répond le texte - le décret gouvernemental ne prend en compte que partiellement les exigences que la CGIL, la CISL et l'UIL ont portées à l'attention de l'exécutif; en effet, de nombreuses activités non essentielles et indispensables sont ont été inclus parmi ceux qui peuvent continuer à travailler. Ayant inclus dans les activités commerciales à considérer comme essentielles une série d'activités de toutes sortes qui n'ont rien d'essentiel, affaiblit le décret et crée l'effet de réduire le minimum nombre de travailleuses qui pourront rester à la maison "

 

Scioperi, anche le banche pronto allo stop

Minacciono di fermarsi anche i lavoratori del settore bancario. I segretari generali di Fabi, First Cisl, Fisac Cgil, Uilca e Unisin in una lettera spedita questa mattina all'Abi, a Federcasse, a tutte le banche, e, per conoscenza, al presidente del Consiglio, Giuseppe Conte denunciano come "i dipendenti del settore, tra i quali si registrano molti casi di positività al Coronavirus, non operano in condizioni di sicurezza", senza mascherine, guanti e disinfettanti.

Pronta la risposta dell'Abi. L'associazione, spiega con un comunicato, "continua a compiere il massimo sforzo per prevenire, contrastare e contenere la diffusione del coronavirus, con priorità per la sicurezza di lavoratrici, lavoratori e clienti, in conformità con le disposizioni di legge e degli altri atti normativi e dando, inoltre, piena attuazione al Protocollo condiviso il 16 marzo 2020 con Fabi, First-Cisl, Fisac-Cgil, Uilca e Unisin".


 

Grèves, même les banques prêtes à s'arrêter
Les travailleurs bancaires menacent également de s'arrêter. Les secrétaires généraux de Fabi, First Cisl, Fisac Cgil, Uilca et Unisin dans une lettre envoyée ce matin à l'ABI, Federcasse, toutes les banques, et, pour information, au Premier ministre, Giuseppe Conte dénoncent comment "les salariés" du secteur, parmi lesquels il existe de nombreux cas de positivité au Coronavirus, ne fonctionnent pas dans des conditions sûres ", sans masques, gants et désinfectants.

La réponse d'Abi (Fédération des banques) est prête. L'association, explique dans un communiqué, "continue de faire le maximum d'efforts pour prévenir, contrer et contenir la propagation du coronavirus, avec des priorités pour la sécurité des travailleuses, des travailleuses et des clientes, conformément aux dispositions de la loi et d'autres lois ainsi que la mise en œuvre intégrale du protocole partagé le 16 mars 2020 avec Fabi, First-Cisl, Fisac-Cgil, Uilca et Unisin ".

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