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“On retrouvé la division das Reich”, Zelensky et Biden en défaut de paiement, mais qu’allait faire Macron dans cette galère ?
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Le plus insupportable actuellement est la manière dont on nous traite en parfaits imbéciles, mais au vu de ce que certains gobent peut-être effectivement ont-ils raison de prétendre nous faire avaler n’importe quoi. Peut-être les communistes russes qui pensent qu’il n’y aucune illusion à entretenir concernant les Occidentaux ont raison ? Vu que les dits occidentaux, nous en l’occurrence derrière Macron ou son clone de hier mais bien moins que demain, soit par lâcheté, soit par complicité, soit les deux, comme les nazis jadis persévèrent dans leur être. Après le weekend au G7, les délires autour de Bakhmut, l’expédition à Belgorod on ne saurait leur donner tort! Tout le mystère qui entoure ces étranges combattants de la liberté de ce dernier “fait d’armes” n’est en fait qu’une couverture pour de franches canailles néonazies. Les mêmes que l’on retrouve dans toutes les opérations en faveur de la démocratie de l’OTAN, les coups d’Etat et le maintien en place des marionnettes. Ils sont chargés de terroriser la population civile, le complément de l’endoctrinement à la haine sous des formes religieuses ou mythiques dès la maternelle… mais ils sont surtout des couvertures pour services spéciaux occidentaux…Il est clair que celui qui veut encore être dupe y compris en traçant un signe d’équivalence désormais entre les Etats-Unis et tous ceux qui subissent l’agression de l’OTAN n’ont plus aucune excuse si ce n’est un crétinisme intégral. Parce que la ressemblance avec le nazisme dépasse ces folkloriques tocards.
La méthode Zelensky : demeurer la seule marionnette à la disposition de l’Occident
Cela fait désormais des mois que l’occident, l’Otan, l’UE pousse Zelensky et son régime à un combat sans merci avec la Russie, toute négociation est rendue impossible, ‘on’ est allé jusqu’à l’assassinat d’un des négociateurs (le seul qui était en costard, les autres en treillis pour saboter la réunion) pendant qu’on nous amusait avec le faux charnier de Boucha. Boris Johnson -déjà qu’un peuple fasse confiance à ce type est un problème- est parvenu à bloquer toute négociation en garantissant à Zelensky et à son régime qu’ils auraient derrière eux tous les moyens de l’occident. Le challenge impliquait un jeu de bonneteau où le bénéficiaire du deal devait faire la preuve qu'”on” en avait pour son argent. Zelensky depuis n’a plus quitté son uniforme kaki. Et comme il n’est pas totalement idiot lui au moins il a détruit systématiquement ses rivaux, les USA et l’OTAN n’ont plus de pièce de rechange quel que soit l’état de leur champion.
Par ailleurs, “on” est allé jusqu’au sabotage du pipeline nordstream et quand “on”, les USA ont été découverts ils ont inventé un groupe audacieux d’ukrainiens, malgré les dénégations de Zelensky qui veut bien porter le chapeau mais ça a des limites. Mais il n’était déjà plus audible qu’en répétant le narratif des USA. Acheté certes mais aussi totalement encadré par ses exécutants, quelques troupes de néonazis, hommes de main de qui ? le coin regorge de gens à vendre même s’ils passent leur vie à s’enfuir et leurs hélicoptères chargés de femmes enfants et quelques babioles ont tendance à s’écraser abattus par dieu sait qui? Les mêmes sans doute…
Déjà celui qui avale tout ça et continue tel un plateau de LCI à inventer l’épopée du défenseur de la vertu et de la démocratie, du bien contre le mal, celui-là a un estomac d’autruche et mérite de prendre place dans la presse dite “libre”. Que depuis un an et plus on nous amuse avec cette fable prouve le peu d’estime que l’on a pour notre intelligence, mais ça avait l’air de marcher, il y a tant de gens qui ne demandent qu’à être convaincus.
L’épisode Bakhmut, le G7, tous en défaut de solvabilité :
Il y a toute chance pour que nous ayons eu là une illustration, comme toute l’histoire militaire russe en recèle, de la maskirovka ou l’art de la désinformation militaire. Les bisbilles entre Prigogine et le commandement russe sur l’absence de munitions relevant de l’art et la manière d’attirer dans ce “chaudron” toute l’armée ukrainienne. Si Zelensky nous amuse avec son offensive les Russes attirent toujours plus son armée dans un lieu où la détruire avec un maximum de matériel. Qui a pu encore être convaincu par une propagande occidentale oscillant à propos de Bakhmout entre le désintérêt de la position et l’épreuve incontournable à travers laquelle Zelensky, convoque les malheureux russes face à son invincible armée ? L’affaire étant destinée à nous faire oublier que malgré nos armes et nos moyens déversés, notre poulain s’avérant incapable de lancer l’offensive promise, prétendait continuer à faire cracher au bassinet ses bailleurs de fond.
Achever de prendre Bakhmut pile à l’anniversaire de la prise de Marioupol et le jour où le peu reluisant Zelensky faisait sa tournée au G7 pour obtenir du fric dit l’ironie russe
Déjà là, à ce stade, on s’interroge sur la logique qui veut qu’à Hiroshima le suspens soit total sur le relèvement du plafond de la dette mais que Biden promette encore quelques milliards à Zelensky, de qui se moque-t-on ? Considéré comme le placement le plus sûr et le plus liquide au monde, le T-Bond a permis à aux USA depuis la fin de la deuxième guerre, à travers de sanglantes péripéties, les guerres, les pandémies, les faillites bancaires, de pouvoir se financer en toute facilité et à des taux inférieurs au reste du monde. Ces « US Treasury bonds » constituent rien moins que la clé de voûte du système financier mondial. Son marché à 25.000 milliards de dollars est le fondement incontournable de toute transaction à travers le globe. Ce remue-ménage politicien insensé et parfaitement superflu aux dires de la directrice du FMI, de la part des responsables américains pourrait certes se solder – en cas d’échec du relèvement du plafond de la dette – à une envolée des taux de financement, à une crise économique accompagnée d’une flambée du chômage. Mais ce qui est sûr c’est que la majeure partie des pays du globe, ceux qui sont convoqués là comme l’Inde et le brésil n’ont qu’une idée en tête comment trouver un système alternatif à celui de ces irresponsables qui de surcroit l’assortissent de sanctions à la tête du client.Déjà là, à ce stade, on s’interroge sur la logique qui veut qu’à Hiroshima le suspens soit total sur le relèvement du plafond de la dette mais que Biden promette encore quelques milliards à Zelensky, de qui se moque-t-on ? Considéré comme le placement le plus sûr et le plus liquide au monde, le T-Bond a permis à aux USA depuis la fin de la deuxième guerre, à travers de sanglantes péripéties, les guerres, les pandémies, les faillites bancaires, de pouvoir se financer en toute facilité et à des taux inférieurs au reste du monde. Ces « US Treasury bonds » constituent rien moins que la clé de voûte du système financier mondial. Son marché à 25.000 milliards de dollars est le fondement incontournable de toute transaction à travers le globe. Ce remue-ménage politicien insensé et parfaitement superflu aux dires de la directrice du FMI, de la part des responsables américains pourrait certes se solder – en cas d’échec du relèvement du plafond de la dette – à une envolée des taux de financement, à une crise économique accompagnée d’une flambée du chômage. Mais ce qui est sûr c’est que la majeure partie des pays du globe, ceux qui sont convoqués là comme l’Inde et le brésil n’ont qu’une idée en tête comment trouver un système alternatif à celui de ces irresponsables qui de surcroit l’assortissent de sanctions à la tête du client.
Biden promet en plus des avions, pour la première fois, mais y a-t-il un pilote dans l’avion? Il semble que non et la formation dure plusieurs mois, en tous les cas c’est un effort totalement inadapté à l’offensive promise face à la chute de Bakhmut et les espérances d’une offensive victorieuse. Ou alors on nous à pris pour des truffes et les pilotes sont déjà formés ou pire encore il est prévu que ce soient des pilotes de l’OTAN. Le fait est que l’affaire est si mal embouchée que les résultats urgent alors que patatras c’est la fin de Bakhmout. Zelensky un peu fatigué sans doute par sa tournée de rock star réclamant du fric, encore du fric, bredouille une insultante remarque sur l’équivalence entre Bakhmut et Hiroshima. L’hôte japonais avale son chapeau, il est vrai qu’après le refus de s’excuser de Biden il n’en était plus à ça près. Mais dehors une foule hurle son mécontentement.
Celui qui ne se pose pas la moindre question sur la cohérence globale est l’individu le plus stupide qui se puisse imaginer...
Mais qu’allait faire Macron dans cette galère?
L’autre interrogation est que vient faire Macron dans cette affaire? Pourquoi s’est-il cru obligé de jouer les taxis et de ruiner le peu de crédit qu’il avait auprès des Chinois? qu’est ce qui l’a contraint à tout à coup prendre sous son aile le Zelensky blessé? Qu’ont en commun ces deux-là ? La pression des sponsors? Macron a avancé deux justifications, la première c’est qu’il agissait ainsi pour faire mieux connaitre Zelensky aux pays du sud, une telle démonstration, un tel parrainage alors que comme nous venons de le voir la quasi totalité de la planète s’interroge sur la nécessité et les moyens de dédollariser, ne faisait ressortir que l’isolement du dit héros. L’autre argument était qu’il pensait que ça aiderait à la paix? On en reste pantois… Plus stupéfiant comment expliquera-t-il au peuple français qu’il a réussi à mettre au bord de l’insurrection pour 13 milliards qu’il pense économiser sur leur retraite, alors qu’il a dépensé 15 milliards pour ce panier percé qu’est un régime ukrainien dont s’écroule non seulement la façade héroïque mais toute crédibilité?
Pourquoi à la veille du vote du budget militaire, Macron s’est-il lancé dans cette opération promotion d’une rock star en mal d’audience à la recherche de sponsor ? La réponse tient sans doute dans l’adoption de la “méthode Zelensky” : faire comprendre à ses bailleurs de fond qu’il n’y a pas de marionnette alternative pour appliquer leur politique.
C’est là que cerise sur le gâteau nous avons un quart d’heure de comique troupier qui sur LCI va devenir une fine manœuvre de la géniale armée ukrainienne.
On a retrouvé la division das Reich… La légion et RVK « organisations terroristes » en Russie
C’est là que dans la nuit de dimanche à lundi 22 mai, des vidéos de militaires se revendiquant pro-ukrainiens et posant devant le panneau d’un village russe proche de la frontière tentent d’occuper le terrain, ont donné l’impression d’une compagnie perdue faute d’une offensive réussie mais le résultat est de démolir le peu qui restait du scénario initial. Dans la journée, d’autres documents montrant un poste-frontière bombardé et des soldats marqués de jaune et de bleu (comme les soldats ukrainiens) apparaissent sur Internet. On a vu des colonnes blindées traverser la frontière en direction de Belgorod. Les renseignements ukrainiens confirment que l’armée russe a reculé face à des forces hostiles dans la zone, mais Kiev dément être à l’origine de l’opération, la première de ce genre sur le territoire russe depuis le début de la guerre en Ukraine.
Mais celui qui une fois de plus révèle à quel point l’UE c’est la politique de l’Autriche (celle de l’Anschluss et de Sigmund Freud), c’est Joseph Borel qui à propos de Belgorod a fait le lapsus qui “tue” en parlant de Belgrade. On se souvient du projectile égaré par les Etats-Unis à Belgrade sur l’ambassade de Chine lors des événements de Yougoslavie (1).
La légion Liberté de la Russie (intégrée à la légion des volontaires internationaux de l’armée ukrainienne) et le Corps des volontaires russes, et pour que la fête soit complète des blindés américains livrés à l’Ukraine sont notamment reconnaissables sur les vidéos postées par ces soldats.
Le seul qui est bavard chez ces gens-là est leur porte parole un certain Caesar. Avant de devenir le visage de la Liberté pour la Russie dans les médias, Caesar vivait à Saint-Pétersbourg, où il était kinésithérapeute et prof de fitness. Dans le New York Times, l’homme de 50 ans et père de quatre enfants affirme être un « nationaliste » et reconnaît avoir été membre du Mouvement impérial russe, un groupe néonazi ultranationaliste.
À part le très médiatique Caesar, il est très difficile d’obtenir des informations sur la légion ou ses membres. Impossible de savoir le nombre exact de combattants − Caesar a indiqué à l’AFP qu’ils seraient « plusieurs centaines » – ni leurs positions. Sur son site, le groupe indique seulement que ses « légionnaires interviennent dans de nombreuses localités, dont celles où les combats sont les plus intenses comme à Bakhmout ».
Le 16 mars dernier, la Cour suprême russe a reconnu Liberté pour la Russie comme « organisation terroriste » et « interdit ses activités sur le territoire russe ». Désormais, ses membres ou toute personne l’aidant ou le finançant encourent des peines allant jusqu’à la réclusion à perpétuité.
Des menaces similaires pèsent sur le deuxième groupe qui a revendiqué l’attaque à Belgorod, RVK. Ce dernier a pris la lumière début mars après des attaques à Lioubetchané, dans la région russe de Briansk, qu’il a revendiquées. Le groupe a été créé en août 2022 par Denis Nikitine, de son vrai nom Denis Kapoustine, aussi surnommé White Rex sur le terrain de guerre. Figure connue du milieu hooligan, il serait un ex-combattant de MMA, nationaliste défenseur de la Russie, et anti-Poutine. Un profil similaire aux combattants qui l’ont rejoint, souvent proches de l’extrême droite. Dans un entretien au média russe indépendant Sota en avril, un représentant du RVK, Vladimir « Cardinal » disait vouloir la création « d’un État national russe sur le territoire de régions majoritairement peuplées de Russes ethniques ».
Là encore, de nombreux mystères entourent RVK. Selon l’un de ses membres interrogés par Reuters, ils seraient environ 200 dans le bataillon. Un chiffre impossible à vérifier. Concernant son organisation, un combattant a précisé à l’AFP que RVK était une unité indépendante hors Ukraine, mais « directement subordonnée » sur le front au ministère ukrainien de la Défense.
Tout ce mystère qui entoure ces étranges combattants de la liberté est en fait une couverture non seulement pour des néonazis que l’on retrouve dans toutes les opérations en faveur de la démocratie de l’OTAN, ils sont chargés de faire peur à la population civile, mais ils sont surtout chargés des coups d’Etat où ils servent en fait de couverture aux services spéciaux occidentaux…
En tous les cas ceux qui en sont aujourd’hui devant les masques qui tombent de tenter de dire qu’il y a des fascistes partout et que c’est la guerre, semblent oublier deux choses : la première c’est que dans les rangs russes et encore moins chinois on ne voit que peu d’individus de ce type alors qu’ils ont un rôle irremplaçable pour interdire toute négociation dans ceux des “combattants pour la démocratie occidentale” et que partout leurs ennemis sont les communistes qui eux sont parfaitement intégrés en Russie, en Biélorussie et bien sûr encore plus en Chine.
Comme je le dis souvent l’histoire nous dira par quel “miracle” de tels régimes et de tels individus ont-ils pu être soutenus par la gauche et plus encore par le secteur international du PCF ? Et surtout comment poussent-ils la cécité pour ne pas voir à quel point la ressemblance avec le nazisme est beaucoup plus préoccupante encore que cette bande de tocards mais bien dans la manière dont l’impérialisme à son stade suprême a besoin de la guerre, d’une accumulation autodestructrice qu’il ne peut plus imposer aux peuples que par les nationalismes chauvins, les divisions, l’ennemi intérieur.. la propagande à la Goebbels qui nous tient de plus en plus lieu d’information…
Danielle Bleitrach
(1) Pour que chacun mesure bien à quelle point la logique de la situation ne date pas d’aujourd’hui, voici l’article que j’avais fait paraître dans la Pensée à propos de la Yougoslavie annonçant une troisième guerre mondiale et le fait qu’à partir de cet article j’ai été totalement censurée y compris dans la presse communiste. Où l’on mesurera non seulement que cela vient de loin et que cela était prévisible mais qu’il y avait des gens qui le savaient également et déjà empêchait que l’on mette en cause le consensus sur la démocratie à l’assaut du méchant dictateur.
https://histoireetsociete.com/2020/04/15/la-troisieme-guerre-mondiale-a-t-elle-commence-au-kosovo-par-danielle-bleitrach-et-jacques-jedwab/
Cet article a été publié en décembre 1999 dans la Revue la Pensée. Il a suscité de grandes critiques de la part de la direction du secteur international du PCF, en l’occurrence Jacques Fath. Ce fut d’ailleurs le dernier article de moi publié dans la presse communiste. Je dénonçais en effet l’intervention de l’OTAN et j’annonçais la fin d’une Europe autonome des Etats-Unis, toutes choses qui déjà n’étaient pas bonnes à dire. Mais le lecteur jugera sur quelles bases a débuté mon interdit et ma censure dans la presse communiste, l’interdiction faite désormais aux communistes d’avoir connaissance de mes opinions, les diffamations sur la personne. S’il se trouve un jour des historiens aptes à juger de ce que fut le massacre des communistes au nom de “l’anti-stalinisme”, en fait le ralliement au capital, je pense que cet article dans lequel je n’ai pas changé une virgule pourra servir de pièce au dossier. Cet article a été écrit avec mon cousin Jacques Jedwab, un psychanalyste. Merci à Stephen Chalk qui a réussi à le retrouver dans les archives de la revue dont je suis toujours membre du pléthorique conseil de rédaction, mais où mes livres, mes écrits subissent la même censure … Lire la suite de
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