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Publié par Pour une vraie gauche à Lannion

En réponse à Macron et au petits bourgeois socialisants qui critiquent la prise de position de Mélenchon sur la logorrhée du fantoche de l'Elysée

Le gars qui écrit et chante  cette chanson il s'appelle Jean Tenenbaum, dit Jean Ferrat et ce n'est pas une petite merde d'Ensemble (cf. l'article sur le site de ce groupuscule) qui remettra ça en cause n'en déplaise à tous les réacts y compris ceux que l'anti meluche aveugle, hein "camarades" communistes qui relayez la "merde" d' Ensemble! 

article de groupuscule Ensemble

https://www.ensemble-fdg.org/content/oui-jean-luc-melenchon-le-16-juillet-1942-la-france-accomplissait-lirreparable

A Lannion comme ailleurs, les frères Lagadec , militants communistes assassinés par les nazis et Vichy, et d'autres qui refusèrent Pétain, ne sont pas à confondre avec cette majorité de députés socialistes qui en 40 votèrent les pleins pouvoirs à Pétain comme aujourd'hui leurs successeurs votent les pleins pouvoirs à Macron!

Bon appétit messieurs!

De plaines en forêts de vallons en collines
Du printemps qui va naître à tes mortes saisons
De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine
Je n'en finirai pas d'écrire ta chanson
Ma France

Au grand soleil d'été qui courbe la Provence
Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche
Quelque chose dans l'air a cette transparence
Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche
Ma France

Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma France

Celle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille
Ma France

Picasso tient le monde au bout de sa palette

Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes
Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu'il est temps que le malheur succombe
Ma France

Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une
Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
En remplissant l'histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma France

Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstiné de ce temps quotidien
Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche
A l'affiche qu'on colle au mur du lendemain
Ma France

Qu'elle monte des mines descende des collines
Celle qui chante en moi la belle la rebelle

Elle tient l'avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma France

 

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