Trump et Zelinsly, l'échec de Macron. Le texte Trump, Vance Zelinsky
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Au-delà de la schadenfreude qu’il a procuré à ceux qui essaient de résister depuis trois ans à l’inepte propagande russophobe et aux conséquences de l’aveuglement des élites à la réalité du monde, le traquenard tendu à Zelensky dans le bureau ovale appelle quelques observations.
Tout d’abord évidemment l’insondable sottise suffisante de ceux qui nous gouvernent en Europe incapables non seulement de prévoir mais d’imaginer que l’entretien entre Donald Trump et le président ukrainien ne puisse pas bien se passer. Certains allant même jusqu’à dire : « la rencontre entre Zelensky et Trump à Washington est une très grande victoire de l’effort diplomatique franco-britannico-ukrainien. Ce n’était pas facile mais Zelensky l’a fait : Trump le rencontre avant Poutine ». Après le bain de sang du bureau ovale on est contraint de se demander une nouvelle fois : mais qui sont ces gens ? Qui sont ces dirigeants, ces ministres, ces parlementaires ces élus, ces journalistes, ces intellectuels ? Sur quelle planète habitent-ils ? Dans quelle cave sont-ils enfermés ? On savait déjà que tous ces gens aux compétences approximatives (coucou Jean-Noël Barrot) considèrent qu’il était tout à fait inutile d’écouter Vladimir Poutine (vous savez celui qui a 42 cancers et qui boit du sang de bois de cerf pour se soigner) et les dirigeants russes (qui ne sont rien que des moujiks jamais sortis de la période stalinienne). Eh bien, ces indécrottables ignares considéraient également qu’il n’était pas nécessaire d’écouter Donald Trump. Ce qu’il faut c’est l’insulter parce que si on l’écoute pour essayer de comprendre ce qu’il veut pour son pays, on ne va pas s’en sortir. D’ailleurs, on ne va pas non plus écouter son vice-président, juste sortir Bernard Guetta de son EHPAD pour lui vomir dessus sur toutes les chaînes. Et parce que nous on est super fort on va refoutre en taule le roumain dont il avait pris la défense à Munich. Façon pour von der Leyen de lui rappeler qui c’est Raoul. Non mais !
Donc on a dit à Zelensky : « t’inquiète, Macron et Starmer ont tout expliqué à Trump. Tu vas voir, il va te filer tout le pognon et toutes les armes que tu veux. Tu vas pouvoir continuer à rafler les gens dans la rue pour les envoyer se faire massacrer sur le front ». Macron nous avait prévenu sur Tik-tok (!!!).
Alors Zelensky il a bien écouté, s’est déguisé comme d’habitude, avec son pyjama habituel de « gobelin vert » ridicule. Trump l’a accueilli en lui disant « tu t’es mis sur ton 31 aujourd’hui ». Cette entrée en matière aurait dû alerter Zelensky, mais armé de sa condescendante arrogance habituelle, il a pris ensuite Trump et Vance à l’envers. Mauvaise pioche. Mauvaise pioche parce que c’était leur faire un royal cadeau à ces deux là qui n’attendaient que ça pour lui en mettre plein la tronche. Parce qu’il ne faut pas s’imaginer que ce qui s’est transformé en « incendie de benne à ordures » était improvisé. Les Européens ont envoyé Zelensky dans un piège (mortel ?) dans lequel il est tombé à pieds joints.
Macron, Starmer, VDL, Kalas, et autres sont des bricolos politiques, des amateurs. Comment ont-ils pu oublier que pendant quatre ans, ils ont toujours soutenu Biden et les démocrates dans leur combat à mort contre Trump ? Ne pas se rappeler qu’ils ont pris parti pour Kamala Harris pendant la campagne électorale, pendant que leurs médias insultaient Trump tous les jours. Le traitant désormais d’espion russe (!!!). Et puis surtout ils font la démonstration qu’ils ne comprennent rien à ce qui se passe. Donald Trump, cette fois-ci entouré d’une équipe très solide, s’est préparé depuis quatre ans. Et que lui a compris le bouleversement du monde et la nécessité de parer les dangers, financiers, économiques, sociaux, et militaires que les États-Unis y courent. Comme son secrétaire d’État Marco Rubio l’a affirmé, il a donc un projet stratégique qu’il entend mettre en œuvre à marche forcée. Sa priorité est la réforme interne qu’il mène au pas de charge, et sur le plan extérieur, il doit d’abord se débarrasser des boulets. Et comme l’a dit Emmanuel Todd avant son élection : « le premier job de Donald Trump sera celui de gérer la défaite de l’Occident en Ukraine ». Nous y sommes. Ce renversement stratégique est-il le bon pour les USA ? Il est plus facile de raconter l’Histoire quand on connaît la fin. Et même si cette Histoire s’accélère, là nous n’en sommes qu’au début.
Tout ceci était lisible, prévisible, et écrit. Comment les dirigeants européens ont-ils pu se dispenser de faire l’analyse de la victoire politique de Trump et du trumpisme en novembre dernier ?
Trump a dit avant de repartir en Floride : « Soit nous mettons fin à la guerre, soit nous les laissons se battre et nous verrons ce qui se passe. »
Finalement, après la schadenfreude, ça fait tout drôle d’être à poil.
La Schadenfreude (/ˈʃaːdn̩ˌfʁɔʏ̯də/) est une expression allemande signifiant la « joie malsaine » ou la « joie maligne » que l'on éprouve en observant le malheur d'autrui. Note Huma Lann
L'échange Trump, Vance, Zelinsky texte
Donald Trump
(répondant à un journaliste) Je ne suis pas aligné avec Poutine. Je ne suis aligné avec personne. Je suis aligné avec les États-Unis d’Amérique. Et pour le bien du monde. Je suis aligné avec le monde. Et je veux en finir avec cette histoire. Vous voyez la haine qu’il a pour Poutine. C’est très difficile pour moi de conclure un accord avec un tel niveau de haine. Il a une haine immense. Et je comprends cela. Mais je peux vous dire que l’autre camp ne l’aime pas non plus.
Donc, ce n’est pas une question d’alignement. Je suis aligné avec le monde. Je veux régler ce problème. Je suis aligné avec l’Europe. Je veux voir si nous pouvons trouver une solution. Vous voulez que je sois dur ? Je peux être plus dur que n’importe quel être humain que vous ayez jamais vu. Je serais si dur. Mais vous n’obtiendrez jamais d’accord comme ça. Voilà comment ça fonctionne.
J.D. Vance
Je vais répondre à cela. Écoutez, pendant quatre ans aux États-Unis, nous avons eu un président qui se montrait dur avec Vladimir Poutine lors des conférences de presse. Et ensuite, Poutine a envahi l’Ukraine et a détruit une grande partie du pays. Le chemin vers la paix et la prospérité passe peut-être par la diplomatie. Nous avons essayé la voie de Joe Biden, celle de bomber le torse et de faire comme si les paroles du président des États-Unis comptaient plus que ses actions.
Ce qui fait des États-Unis un grand pays, c’est leur engagement dans la diplomatie. C’est ce que fait le président Trump.
Volodymyr Zelensky
D’accord. Il a occupé des territoires, nos territoires. De grandes parties de l’Ukraine. L’est et la Crimée. Il les a occupés en 2014. Pendant de nombreuses années, et je ne parle pas seulement de Biden. À cette époque, c’était Obama, puis le président Obama, puis le président Trump, puis le président Biden, et maintenant le président Trump. Que Dieu bénisse : maintenant, le président Trump va l’arrêter. Mais depuis 2014, personne ne l’a arrêté. Il a simplement occupé et pris. Il a tué des gens.
Donald Trump
2015.
Volodymyr Zelensky
2014.
J.D. Vance
2014 et 2015.
Donald Trump
2014. Je n’étais pas là.
Volodymyr Zelensky
Mais de 2014 à 2022 (…) personne ne l’a arrêté. Vous savez que nous avons eu des discussions avec lui, beaucoup de discussions. Mes discussions bilatérales. Et nous avons signé avec lui. Moi, en tant que nouveau président, en 2019, j’ai signé avec lui un accord, j’ai signé avec lui, Macron et Merkel. Nous avons signé un cessez-le-feu. Un cessez-le-feu. Tous m’ont dit qu’il ne bougerait jamais. Nous avons signé avec lui un contrat sur le gaz. Mais après, il a rompu le cessez-le-feu. Il a tué notre peuple et il n’a pas échangé les prisonniers. Nous avons signé un échange de prisonniers, mais il ne l’a pas respecté. De quelle diplomatie, J.D., parlez-vous ? Que voulez-vous dire ?
J.D. Vance
Je parle de la diplomatie qui mettra fin à la destruction de votre pays.
Monsieur le Président, avec tout le respect, je pense que Monsieur le Président, avec tout le respect, je pense que c’est irrespectueux de venir dans le Bureau Ovale et d’essayer de débattre de cela devant les médias américains. En ce moment, vous envoyez de force des conscrits sur le front parce que vous manquez d’hommes. Vous devriez remercier le président d’essayer de mettre fin à ce conflit.
Volodymyr Zelensky
Êtes-vous déjà allé en Ukraine ? Vous parlez de nos problèmes.
J.D. Vance
J’y suis allé…
Volodymyr Zelensky
Venez une fois.
J.D. Vance
J’ai regardé et vu les reportages, et je sais que vous emmenez des gens en tournée de propagande, Monsieur le Président. N’êtes-vous pas d’accord pour dire que vous avez des difficultés à recruter des soldats ?
Volodymyr Zelensky
Nous avons des problèmes. Je vais répondre.
J.D. Vance
Et pensez-vous qu’il soit respectueux de venir dans le Bureau Ovale des États-Unis d’Amérique et d’attaquer l’administration qui essaie de prévenir la destruction de votre pays ?
Volodymyr Zelensky
Beaucoup de questions. Commençons par le début.
J.D. Vance
D’accord.
Volodymyr Zelensky
Tout d’abord, en temps de guerre, tout le monde a des problèmes, même vous. Mais vous avez un bel océan et ne ressentez pas cela pour l’instant, mais vous le sentirez à l’avenir.
Donald Trump
Vous n’en savez rien.
Volodymyr Zelensky
Que Dieu vous bénisse, vous n’aurez pas de guerre.
Donald Trump
Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir. Nous essayons de résoudre un problème. Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir.
Volodymyr Zelensky
Je ne vous dis pas…
Donald Trump
Parce que vous n’êtes pas en position de nous dicter cela.
Rappelez-vous ceci : vous n’êtes pas en position de nous dicter ce que nous allons ressentir. Nous allons nous sentir très bien.
Volodymyr Zelensky
Vous en ressentirez l’influence. Je vous le dis.
Donald Trump
Nous allons nous sentir très bien et très forts.
Volodymyr Zelensky
Vous en ressentirez l’influence.
Donald Trump
Vous n’êtes pas en bonne position en ce moment.
Vous vous êtes placé dans une très mauvaise position. Et il a raison à ce sujet. Vous n’êtes pas en bonne position. Vous n’avez pas les cartes en main pour le moment. Avec nous, vous commencez à en avoir.
Volodymyr Zelensky
Je ne joue pas aux cartes. Je suis très sérieux, Monsieur le Président. Je suis un président en temps de guerre…
Donald Trump
Vous jouez aux cartes. Vous jouez aux cartes. Vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. Et ce que vous faites est très irrespectueux envers ce pays, ce pays qui vous a soutenu bien plus que ce que beaucoup de gens ont dit qu’il aurait dû faire.
J.D. Vance
Avez-vous dit « merci » une seule fois pendant toute cette réunion ? Non. Pendant toute cette réunion, avez-vous dit « merci » ? Vous êtes allé en Pennsylvanie et avez fait campagne pour l’opposition en octobre. Offrez quelques mots d’appréciation aux États-Unis et au président qui essaie de sauver votre pays.
Volodymyr Zelensky
S’il vous plaît. Vous pensez que si vous parlez très fort de la guerre, vous…
Donald Trump
J’ai regardé et vu les reportages, et je sais que vous emmenez des gens en tournée de propagande, Monsieur le Président. N’êtes-vous pas d’accord pour dire que vous avez des difficultés à recruter des soldats ?
Volodymyr Zelensky
Nous avons des problèmes. Je vais répondre.
J.D. Vance
Et pensez-vous qu’il soit respectueux de venir dans le Bureau Ovale des États-Unis d’Amérique et d’attaquer l’administration qui essaie de prévenir la destruction de votre pays ?
Volodymyr Zelensky
Beaucoup de questions. Commençons par le début.
J.D. Vance
D’accord.
Volodymyr Zelensky
Tout d’abord, en temps de guerre, tout le monde a des problèmes, même vous. Mais vous avez un bel océan et ne ressentez pas cela pour l’instant, mais vous le sentirez à l’avenir.
Donald Trump
Vous n’en savez rien.
Volodymyr Zelensky
Que Dieu vous bénisse, vous n’aurez pas de guerre.
Donald Trump
Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir. Nous essayons de résoudre un problème. Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir.
Volodymyr Zelensky
Je ne vous dis pas…
Donald Trump
Parce que vous n’êtes pas en position de nous dicter cela.
Rappelez-vous ceci : vous n’êtes pas en position de nous dicter ce que nous allons ressentir. Nous allons nous sentir très bien.
Volodymyr Zelensky
Vous en ressentirez l’influence. Je vous le dis.
Donald Trump
Nous allons nous sentir très bien et très forts.
Volodymyr Zelensky
Vous en ressentirez l’influence.
Donald Trump
Vous n’êtes pas en bonne position en ce moment.
Vous vous êtes placé dans une très mauvaise position. Et il a raison à ce sujet. Vous n’êtes pas en bonne position. Vous n’avez pas les cartes en main pour le moment. Avec nous, vous commencez à en avoir.
Volodymyr Zelensky
Je ne joue pas aux cartes. Je suis très sérieux, Monsieur le Président. Je suis un président en temps de guerre…
Donald Trump
Vous jouez aux cartes. Vous jouez aux cartes. Vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. Et ce que vous faites est très irrespectueux envers ce pays, ce pays qui vous a soutenu bien plus que ce que beaucoup de gens ont dit qu’il aurait dû faire.
J.D. Vance
Avez-vous dit « merci » une seule fois pendant toute cette réunion ? Non. Pendant toute cette réunion, avez-vous dit « merci » ? Vous êtes allé en Pennsylvanie et avez fait campagne pour l’opposition en octobre. Offrez quelques mots d’appréciation aux États-Unis et au président qui essaie de sauver votre pays.
Volodymyr Zelensky
S’il vous plaît. Vous pensez que si vous parlez très fort de la guerre, vous…
Donald Trump
Donald Trump
Mais vous dites que vous ne voulez pas de cessez-le-feu.
Volodymyr Zelensky
Mais je vous ai dit, avec des garanties.
Donald Trump
Je veux un cessez-le-feu, parce que vous obtiendrez un cessez-le-feu plus rapidement qu’un accord de paix.
Volodymyr Zelensky
Demandez à notre peuple ce qu’il pense du cessez-le-feu—
Donald Trump
Ce n’était pas avec moi. Ce n’était pas avec moi. C’était avec un type nommé Biden, qui n’était pas une personne intelligente. C’était avec Obama.
Volodymyr Zelensky
C’était votre président.
Donald Trump
Excusez-moi. C’était avec Obama, qui vous a donné des draps, et moi, je vous ai donné des Javelins.
Volodymyr Zelensky
Oui.
Donald Trump
Je vous ai donné des Javelins pour détruire tous ces chars.
Donald Trump
Je vous ai donné des Javelins pour détruire tous ces chars. Obama vous a donné des draps. En fait, l’expression est : Obama a donné des draps, et Trump a donné des Javelins. Vous devez être plus reconnaissant parce que, laissez-moi vous dire, vous n’avez pas les cartes en main. Avec nous, vous avez des cartes. Mais sans nous, vous n’avez aucune carte.
Ce sera un accord difficile à conclure, car les attitudes doivent changer.
Une journaliste
Et si la Russie viole le cessez-le-feu ? Et si la Russie rompt les négociations de paix ? Que ferez-vous dans ce cas ? Je comprends que la conversation est tendue.
Donald Trump
Que dites-vous ?
J.D. Vance
Elle demande : et si la Russie viole le cessez-le-feu ?
Donald Trump
Et si quoi que ce soit ? Et si une bombe tombait sur votre tête maintenant ? OK ? Et s’ils le violaient ? Je ne sais pas, ils l’ont fait avec Biden, parce qu’ils ne le respectaient pas. Ils ne respectaient pas Obama. Ils me respectent.
Laissez-moi vous dire, Poutine en a bavé avec moi. Il a traversé une fausse chasse aux sorcières où ils l’ont utilisé, ainsi que la Russie, la Russie, la Russie, la Russie. Vous avez déjà entendu parler de cette affaire ? C’était un mensonge. C’était une arnaque impliquant Hunter Biden et Joe Biden. Hillary Clinton, le sournois Adam Schiff. C’était une arnaque des démocrates. Et il a dû traverser cela. Et il l’a fait. Nous n’avons pas fini en guerre. Et il a dû le supporter. Il était accusé de toutes ces choses. Il n’avait rien à voir avec ça. C’était sorti de la chambre à coucher de Hunter Biden. Ça venait de la chambre à coucher de Hunter Biden. C’était dégoûtant. Et puis ils ont dit : « Oh, l’ordinateur portable de l’enfer a été fabriqué par la Russie ». Les 51 agents. Tout cela n’était qu’une escroquerie. Et il a dû supporter tout cela.
On l’accusait de toutes ces choses. Tout ce que je peux dire, c’est ceci : il a peut-être rompu des accords avec Obama et Bush, et peut-être avec Biden. Il l’a fait. Peut-être. Peut-être qu’il ne l’a pas fait. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Mais il ne les a pas rompus avec moi. Il veut Il veut conclure un accord. Je ne sais pas s’il peut conclure un accord.
Le problème, c’est que je vous ai donné du pouvoir pour être un dur à cuire, et je ne pense pas que vous auriez été un dur à cuire sans les États-Unis. Et votre peuple est très courageux.
Volodymyr Zelensky
Merci.
Donald Trump
Mais soit vous concluez un accord, soit nous nous retirons. Et si nous nous retirons, vous devrez vous battre. Je ne pense pas que ce sera joli, mais vous devrez vous battre.
Mais vous n’avez pas les cartes en main. Une fois que nous signerons cet accord, vous serez dans une bien meilleure position. Mais vous ne montrez aucun signe de gratitude. Et ce n’est pas une bonne chose. Honnêtement, ce n’est pas une bonne chose.
Très bien. Je pense que nous en avons assez vu. Qu’en pensez-vous, hein ? Ça va faire de la très bonne télévision. Je peux vous le dire. Très bien. Nous verrons ce que nous pouvons faire pour arranger cela. Merci.