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Publié par Pour une vraie gauche à Lannion

 

Constater l’existence d’un culte de Staline en Géorgie ne sera une découverte pour personne et cela ne date pas d’aujourd’hui. Khrouchtchev, Chevardnadzé se sont heurtés au soutien à l’enfant du pays et au refus d’abattre ses statues. Avec le désenchantement de la “vague démocratique” qui si elle a enrichi une poignée à travers les privatisations et la vente du pays à l’occident s’est traduite par une situation catastrophique pour la majorité, la plupart des pays de l’ex-URSS et du pacte de Varsovie connaissent ce que l’on identifie à de la nostalgie. Tout est mis en œuvre comme aujourd’hui en Moldavie, pour empêcher le retour d’un pouvoir dit pro-russe en fait anti-occidental, anti-otan. Quand l’on sait le rôle de trafiquant d’arme et de soutien au régime le plus répressif et le plus corrompu qui se puisse imaginer joué par Raphael Glucksmann on mesure à quel point un tel anti-stalinien (sic) est le symbole de la pourriture de l’occident et de la vertu du Parlement européen. (note de Danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop pour histoireetsociete)

https://vz.ru/news/2024/10/9/1291601.html

Texte : Dmitri Alexandrov, Tbilissi

Les membres du Parlement européen ont adopté une résolution sévère critiquant les processus « anti-démocratiques » et « anti-occidentaux » qui se dérouleraient en Géorgie, tandis que les députés européens ont constaté « la croissance du culte de Staline » dans le pays, rapporte le correspondant du journal VZGLYAD à Tbilissi.

La résolution, que les autorités géorgiennes ont qualifiée de « révoltante » et de « honteuse » en général, y compris les appels à des sanctions bilatérales contre la Russie, exprime « l’inquiétude face à la croissance du culte de Staline et à la croissance associée de la nostalgie de l’URSS ».

Il est affirmé qu’un « soutien du gouvernement » est à l’origine de cette tendance, ce qui « souligne ses liens étroits avec la Russie ».

Plus tôt dans la journée de mercredi, le président du Parlement géorgien, Shalva Papuashvili, s’est vivement opposé à la résolution du Parlement européen.

 

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